Chaque année, bon nombre de réalisateurs font la sortie de leurs films, qu’il s’agisse de romance, horreur ou de science-fiction. Avant que ces derniers ne soient disponibles sur vos écrans, ils figurent avant tout en salles de cinéma pour une avant-première. Dans cet article, découvrez quelques-uns de ces films qui ont marqué l’année 2014.

Her

Ce film réalisé par Spike Jones a été mis en scène le 14 février 2014. C’est dans un univers de science-fiction que ce dernier a concocté une romance entre un humain et un système informatique. En effet, c’est dans un monde beaucoup plus développé que se crée une histoire d’amour entre un Os du nom de Samantha et Théodore un simple humain. De leurs vrais noms Scarlett Johansson et Joaquin Phoenix, ces deux personnages ont créé un lien fort entre eux au fil de leurs nombreux échanges. Ce film a été nommé aux oscars et semble devenir l’un des scénarios cultes de l’histoire de la science-fiction. Mis en salle pour la première fois en mars 2014, il a su séduire et convaincre le public sur la possibilité d’un amour avec une oreillette.

The tribe

Il s’agit d’un film ukrainien mis en œuvre par le réalisateur Miroslav Slaboshpitsky. D’une durée de deux heures environ, ce métrage a remporté plusieurs prix au cours de la semaine de la critique, qui s’est tenue à Cannes. En effet, entre le fait d’avoir été tourné dans un internat pour sourds-muets et entièrement réalisé dans le langage des signes, ce film a été l’un des plus bluffants de la rentrée. Il retrace l’histoire d’une troupe de jeunes hommes, propriétaires de réseaux de drogues et de prostitutions. Du haut de son caractère purement muet, ce film a su donner de l’émotion et de la sensation au public. Tantôt avec les grognements qui résonnent, le souffle des personnages ou encore les bruits évoquant le sentiment qui les animent. Le réalisateur aurait voulu transmettre un message sur l’abandon de la jeunesse de l’Europe de l’Est laissée à elle-même.

Tome 1 de Nymphomaniac

Lars Von Trier, scénariste et réalisateur de ce film, a su démontrer toute son intelligence. Il a su créer l’illusion d’un métrage à caractère pornographique dans l’esprit du public qui se trouvait bien à côté de la plaque. Bien qu’il ait la présence de quelques scènes du genre, le film avait été conçu dans le but de raconter l’histoire d’une jeune fille atteinte de nymphomanie, avec un vieil homme du nom de Seligman. Du nom de Joe, cette fille tentera d’en apprendre tant bien que mal sur sa sexualité, ce qui a amplifié la pathologie pour ses désirs sexuels.

Le célibataire Seligman l’ayant accueilli chez lui, après l’avoir trouvé dans une ruelle enneigée, fera l’objet des expériences sexuelles de Joe la nymphomane. Celle-ci fera la narration de son histoire à travers huit chapitres, rédigés dans le ton d’humour et d’ironie. Ce film se veut de donner au public une compréhension sur les rapports entre la psychologie et le sexe. Pour le réalisateur, tout est dans le mental. De plus, ce film amène à connaître la différence entre sexe et pornographie.